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mardi 6 mars 2018

La Péritonite Infectieuse Féline, dite PIF.


C'est une maladie est en extension au niveau mondial. En général, 1 à 5 % des chatons issus des refuges et chatterie meurent de la PIF . Selon Pederson la plupart des décès se produisent chez les chats de 3 à 16 mois et rare après 3 à 5 ans (1).
Cette maladie est inscrite dans la loi du 22 juin 1989 sur les vices rédhibitoires

La connaissance de la PIF remonte en 1963 quand Holzworth en a parlé pour la première fois à un colloque à Boston. C'est quelques années après que l'agent responsable fut identifié par Ward  : un virus apparenté au Coronavirus du tube digestif.
Mais ce sont surtout les travaux de Pederson et de Vennema qui ont démontré que le virus FIPV était une forme mutante du virus FoCV.


L'agent responsable :

Le virus de la Péritonite Infectieuse Féline (FIPV) est donc une forme mutante du coronavirus intestinal ( FoCV).
Le FoCV semblerait être présent dans les fèces de plus d'un chat sur deux.
Sa présence passe souvent inaperçue. Quelques chats peuvent présenter des troubles digestifs bénins comme des vomissements ou de la diarrhée.
Les chats porteurs « sains » peuvent excréter le FoCV durant de nombreuses années.
Les chatons sont particulièrement sensibles au FIPV. Leur contamination est plus élevée dans les élevages et les refuges
La PIF est sur représentée dans certaines races pures (comme le Burmèse, le Shorthair et Cornish Rex) et sous représenté dans d'autres races (chat européen à poil court et Persan).
Les mâles entiers semblent présenter une prévalence plus élevée à contracter cette maladie.
Toutefois , il y a des variations à prendre en considération selon les pays.
On parle de plus en plus de lignées susceptibles à développer la PIF au sein d'une même race : il pourrait s'agir d'une "susceptibilité d'ordre génétique" (9).
De plus, les sources de stress (sevrage, changement de propriétaire, stérilisation, surpopulation, arrivée d'un congénère, maladie intercurrente) pourraient en être la cause déclanchante (9)



LES SYMPTÔMES :

Ils sont très divers en raison des multiples localisations du virus (2) :
-amaigrissement progressif
-anorexie
-abattement
-hyperthermie fluctuante (10)
- ictère(jaunisse) en cas d'atteinte hépatique
-uvéite en cas d'atteinte oculaire.
-dyspnée (difficultés respiratoires) en cas d'atteinte respiratoire (forme humide).
-d'ordre neurologique (10 % des cas ): myélopathie, syndrome vestibulaire central (ataxie), atteinte multi-focale paralysies) (9).
-distension abdominale (ascite) en cas d’épanchement péritonéal (forme humide)
-adénomégalie, le plus souvent du ganglion mésentérique.

En cas de baisse des défenses immunitaires (leucopénie par ex.) les chats contaminés seront susceptibles de contracter d'autres affections comme des voies respiratoires ( une herpèsvirose, une chlamydiose...)

LE DIAGNOSTIC :

+ clinique :


La forme sèche : (3)

Elle peut se traduire par :
-une uvéite, iridocyclite, choriorétinite...
-une néphrite granulomateuse
-une hépatite granulomateuse
-une encéphalomyélite granulomateuse
-des pyo-granulomes multi-focaux intestinaux
-des troubles neurologiques (convulsions, paralysies).

La forme humide :

Elle est plus facile à diagnostiquer avec la présence d'un épanchement pleural ou abdominal.
Le liquide est de couleur jaune citrin, épais, sans germe mais avec la présence de globules blancs neutrophiles.
Remarques : l'hyperthermie est plus fréquente dans cette forme que dans la forme sèche (sup. à 40 % des cas) ainsi que les troubles neurologiques (10).


+ diagnostics de laboratoire :

Les analyses de sang classiques indiquent une hyper protéinémie (hyper globulinémie dans 90 % des cas), une hyper bilirubinémie fréquente (sans augmentation concomitante des paramètres hépatiques),
L'électrophorèse des protéines sériques indique un pic polyclonal en gamma globulines dans 85 % des cas.


Quelque soit la forme, il est conseillé de pratiquer des examens complémentaires comme une électrophorèse des protéines plasmatiques qui pourra indiquer un pic polyclonal en gamma globulines dans 85 % des cas. 
Quant à la sérologie coronavirose (test Elisa par ex.) mais elle n'est pas spécifique  du Coranovirus muté de la PIF. En effet, il a été démontré que 10 % des chats atteints de PIF présentaient une sérologie négative!
Il faut surtout pratiquer un PCR (quantitatif de préférence).
Pour avoir une bonne fiabilité, il est à pratiquer de préférence sur les liquides d'épanchement ou les organes de cyto-ponction.

Quant à l'imagerie médicale, elle va permettre  seulement d'identifier les organes atteints mais aucune image est spécifique de cette affection



LA PROPHYLAXIE :

La vaccination n'est pas encore disponible actuellement en France.
Seules des mesures préventives sont à conseiller :
-isolement des animaux entrants ( quarantaine d'un mois) ; effectuer une sérologie et une électrophorèse
-enlever les chatons des mères positives à l'âge de 4-5 semaines, car la transmission de la mère aux chatons se fait principalement à l'âge de 5 à 7 semaines.
-bien désinfecter les cages, les litières et les gamelles
-être très sélectif dans les programmes d'élevage: n'utiliser comme reproducteur aucun mâle ou femelle qui ont engendré des chatons, morts de la PIF.


TRAITEMENTS :

-ALLOPATHIQUES :

Ils font appel souvent appel à des antibiotiques, corticoïdes, virucides et aux interférons, humain ou vétérinaire.
Leurs traitements  antibio-corticoïdes sont très décevants
D'après mes confrères Fabrice Hébert et Christophe Bulliot (2) ainsi que Mme Irène de Villiers, immunologiste, il faut éviter les corticoïdes.

Les interférons :

Certains vétérinaires disent avoir parfois des résultats avec les interférons qui stimulent l'immunité.
Cet avis est soutenu par Diane Addie, maitre de conférence à l'Université de Glasgow qui écrit dans une publication  : « L'Interferon Omega semble guérir environ un tiers des chats atteint de PIF..., Il semble extrêmement important de débuter le traitement dès que possible après l’apparition des signes cliniques »... (4).
Elle associe à son traitement d'autres médicaments comme des vitamines (A, B1, complexe B C, E et des stéroïdes anabolisants....

L'argent colloïdal :

Certains des mes confrères et consœurs préconisent de donner de l'argent colloïdal.
Ma consoeur le Dr Bernadette Bresard propose sur Bioveto de le donner en libre service en s'appuyant sur la démarche du Dr Jean Elminger, médecin homéopathe suisse (5).
L'argent colloïdal doit être mis dans une coupelle en verre et dilué avec un peu d'eau mis à la dispostion du chat.
Il semblerait que la concentration en 15 ppm (15 mg/l) soit la plus adaptée à cette espèce.
Sa posologie chez le chat va de 3ml à 10 ml par jour. Le traitement est poursuivi durant plusieurs semaines.

Les antiviraux :

La Morris animal Foundation étudie des antiviraux spécifiques pour traiter la PIF .
Des études ont lieu sur le terrain avec un inhibiteur de la protéase (GC376) et un inhibiteur nucléosidique (EV0984) qui sont apparus très prometteurs.
Dans des articles du 17 décembre 2017 et du 12 mars 2019, Vetitude ("l'information pour l'entreprise vétérinaire") dit :  "ces antiviraux spécifiques devraient devenir le traitement de choix de la péritonite infectieuse féline. La mise au point d’un traitement a été lente, mais désormais les scientifiques du monde entier disposent d’une solide base de données sur la PIF, source de progrès notables en particulier dans le domaine de la pharmacothérapie antivirale". (6)
Des chercheurs ont testé avec succès l’innocuité et l’efficacité d’un antiviral humain, le GS-441524 prescrit dans le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) de la famille des coronavirus comme la PIF(6 bis).
Selon les études du Dr Niels Pederson de l'UC Davis, il faudrait traiter le chat malade durant 12 semaines à la posologie de 5mg/kg/jour.
Ce médicament humain n’est pas actuellement disponible en France.



-INTÉRÊT DES HUILES ESSENTIELLES CHEZ LE CHAT ATTEINT DE LA PIF
par le Dr Joëlle Robyns vétérinaire (7)

La voie atmosphérique est le meilleur moyen d’initier les chats aux HE, il faut
commencer par de faibles doses. Les plus antivirales sont les HE de Ravintsara,
d’eucalyptus radié et de niaouli. Commencer par 1 puis augmenter progressivement
jusqu’à 5 à 10 gouttes dans un bol d’eau bouillante, ¼ d’heure matin et soir permet de
bien dégager et désinfecter l’arbre respiratoire lorsque celui-ci est atteint.
Une autre voie d’administration possible chez le chat est la voie trans cutanée : les HE
passe rapidement la barrière de la peau pour pénétrer l’organisme. Il est alors tout à fait
possible de déposer les HE à un endroit où il n’arrive pas à se lécher : entre et/ou en
arrière des oreilles. Il faut toujours changer d’endroit et contrôler l’absence de réaction
locale avant chaque nouvelle application. Pour les diluer, je conseille plutôt l’alcool ou
l’aloe vera que l’huile végétale qui rendra le poil gras. Le mieux étant d’appliquer 1 goutte
pure puis de recouvrir immédiatement avec de l’aloe vera et masser. Une préparation
vétérinaire existe, l’INHALVET®, que l’on peut utiliser par voie atmosphérique ou par voie
cutanée.
La prise d’huiles essentielles par voie orale chez le chat est délicate, tout d’abord parce
que le chat n'ingère pas n’importe quoi mais aussi parce que sa métabolisation des HE
est très lente. La prise orale d’HE doit aussi respecter des «fenêtres thérapeutiques» c-a- d
laisser l’organisme au repos 2 à 4 jours par semaine et donc donner les HE 3 à 5 jours par
semaine. Cette voie d’absorption doit être réservée à des maladies graves afin de juger de
l’effet «bénéfice/risque».
Une préparation sous forme de capsules molles, STIMUNVET® est disponible en
médecine vétérinaire ce qui est préférable pour éviter les accidents. Formulée avec les
huiles essentielles de thym satureoïde, de de ravintsara, d'eucalyptus radié et de clou de
girofle, ces huiles essentielles ont de puissantes vertus antivirales, anti bacteriennes,
antifongiques, antiparasitaires, stimulantes immunitaires et tonifiantes.
Les HE ne sont pas interdites chez le chat mais des précautions sont à prendre: choix de
l’HE et de sa dilution, méthode et voie d’application, nombre d’application journalière,
durée d’administration en n’oubliant pas de respecter des pauses et de contrôler le bon
fonctionnement de son organisme par des prises de sang.
La prise orale d’HE doit être réservée aux affections virales ou aux cas pour lesquels la
médecine vétérinaire traditionnelle est impuissante.


-ET L'HOMEOPATHIE  :

 Commentaires du Dr Bernadette Bresard, vétérinaire et médecin :

Irène de Villiers en tant qu'immunologiste et éleveuse de chats a mis au point des traitements homéopathiques que ma consoeur le Dr Bernadette Bresard a développé dans son site Bioveto :
Elle m'a écrit à ce propos : « elle a mis au point un système de répertorisation sur la morphologie, tant anatomique que comportementale (façons de se coucher, façons de se déplacer...) l'idée étant de soutenir « le cablage énergétique » du chat car seul le chat peut régénérer son thymus afin qu'il reprenne le contrôle sur les macrophages ... ».

Selon les symptômes observés, Mme I de Villiers conseille Cinchona officianalis , Lycopodium clavatum, Baryta carbonica, Sulphur.


 Dr Bernadette Bresard :

La païf (péritonite Autoimmune féline) et les données actuelles de la science ..et du bon sens.. en simple..

- Un million de chats décèdent de paif annuellement dans le monde, cette «épidémie» étant proportionnelle au développement des survaccinations (+pesticidations , et stérilisation précoce systématiques).

- Comment la païf tue t elle les chats? Depuis 2009, il a été objectivé que , dans la païf, ce sont ses propres neutrophiles , qui tuent le chat :

  <http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19343474>

 - Pourquoi ses neutrophiles se retournent contre le chat? Parce que leur organe de contrôle, le thymus, est détruit.

- Détruit par quoi , le thymus? par une accumulation de stress (Et/ou par l’administration de corticoides : les hormones du stress) , dans un temps trop court pour qu’il puisse récupérer. Ce qui déclenche la paif n’a rien à voir avec un corona (lequel est ubiquiste ) - et tout à voir avec le stress . Que ce stress soit chimique: (l’organisme du chat n’est pas-encore moins que celui de l’humain-n'est pas conçu donc, pour gérer des toxiques tels que adjuvants vaccinaux, vermifuges chimiques, etc etc...)-, et/ou que ce stress soit émotionnel, chirurgical..
 - Lorsque son thymus est ainsi détruit par une accumulation de stress, ou par l'administration des hormones du stress, les corticoides, que se passe t il dans le chat ? Son thymus ne peut plus le débarrasser de la forme mutante du corona intestinal, - ce qu’un thymus sain fait sans problème ( 80 % des mutations paifs n'aboutissent pas à une paif, SI le thymus est sain) . Ce virus mutant  garde 98% de ses gènes en commun avec le corona ubiquiste (d'où l'inutilité des tests "corona" qui ne font pas la différence entre mutant et corona ubiquiste) . Mais LE gène muté fait qu’ il va s’établir dans..les macrophages du chat. Qui sont les camions éboueurs de l’organisme. Qui normalement débarrassent l’organisme de ses poubelles (les neutrophiles). Et qui les «gèrent «, leur intimant de s’autodétruire , mission accomplie, à l’age de douze heures. Le mutant s’installe dans les macrophages donc, les utilisant comme incubateurs pour s’y reproduire, et pervertit leur fonctionnement. Ils ne signalent plus aux neutrophiles de s’autodétruire ... Ils ne débarrassent plus l’organisme de ses poubelles , lesquelles s’accumulent , avec une nouvelle génération toutes les douze heures, jusqu’à ce que la charge toxinique soit telle que les globules rouges éclatent : anémie hémolytique aigue , avec jaunisse...

- Le mutant est dans les macrophages , et dans les macrophages uniquement, donc la païf n’est pas contagieuse (les habitudes de maltraitance chimique, si.. d’où cette apparence d ' "épidémies» dans certaines collectivités).

- Un diagnostic simple : la clinique + l'anamnèse doivent y faire penser assez tôt, avant le stade terminal , - et la numération formule la signe: neutrophiles élevés, lymphocytes bas, globulines élevées, albumine basse

Que faire ? :
Aucun médicament ne peut régénérer un thymus, seul le chat peut le faire. Une seule possibilité pour que le chat s’en sorte : obtenir dans les temps la régénération de son thymus, dont seule la fonctionnalité retrouvée lui permettra de se débarrasser du mutant. Soit le soutenir de toute urgence et par toutes les voies possibles pour empêcher la survenue de l’irréversible.

1) Il est urgent de s’abstenir :
 - d’ inutiles «tests corona»: TOUS les chats sont porteurs de corona..

de tuer, avec une injection systématique d'"antibio-cortico":
 les cortico donc et détruisent le thymus(<http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=thymus%20target%20Bjelakovic> ) , et augmentent encore le nombre de neutrophiles ( http://ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=granulocytopenia%20cat%20Fidel> ) , donc accélèrent la destruction de l'organisme du chat.
 Les antibiotiques, molécules étrangères à l'organisme, vont dans le même sens, la paif étant une maladie «ADE « = aggravée par tout anticorps : (ADE anticorps dépendant enhancement ) ( <http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19043660 > ) . Et pénalisent encore foie et reins, dont le chat a bien besoin pour tenter de diminuer sa charge toxinique , laquelle s’accumule à toute allure, les neutrophiles vieillis s’ouvrant, relâchant leurs granules toxiques (ainsi que ceux formateurs de granulomes), qui tuent le chat.
 - d’ interféron : lequel augmente les anticorps, déjà en excès dans la païf; ( < http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18196725 >

2) Il est urgent de soutenir le chat au plan équilibre acidobasique et hydroélectrolytique, pour tâcher d‘obtenir un flushing des toxines : c’est le rôle de l’allopathe.
  Celui de l'homéopathe sera d'intervenir au niveau des processus physiopathologiques en cours, en anticipant constamment . Et, pour les unicistes, de l'individu. N'est pas uniciste qui veut. Le dr Irène de Villiers, dr en mmunopharmacologie, dr en homépathie uniciste, venait de mettre au point ,du fait de sa réflexion d'éleveuse (elle avait un élevage familial de chats norvégiens), et de son acquis sur plus de 500 cas de païfs ), une répertorisation sur base de l'ICT (type constitutionnel individuel: individual constitutional type), qui ajoutait une «béquille», qui comme dans le cas d’une jambe cassée, ne soigne rien par elle même mais soutient la volonté du chat.. tandis qu’elle déterminait en plus le similimum.  Il s'agissait donc avec son ICT de soutenir le "treillis énergétique" du chat., ici en se basant sur sa biotypologie, - comme le pifower le fait au niveau biochimique...
L'organothérapie,  la nutrithérapie, dans certains cas les élixirs de cristaux, les rééquilibrants immunitaires (et surtout pas les stimulants immunitaires) , l'utilisation du libre service (le chat a les remèdes à sa disposition dans une série de coupelles et ainsi la possibilité, en fonction de son ressenti, de se servir à telle heure du jour ou de la nuit, dans tel remède..et de refuser des mois durant tel autre) ,  l’argent colloidal , le msm, ..... Le suivi pas à pas.. sachant qu'on pourra passer à travers toutes manifestations, neurologiques, cardiaques, pulmonaires, dyspnéiques, etc etc etc.. permet, rarement mais cela arrive.. que le chat.. retrouve sa santé.


SURTOUT cessons de créer des paifs, Ne vaccinons pas avant 3 mois. Une seule valence à la fois (Elle suffit pour toute la vie du chat). Un mois entre chaque valence (sachant que pendant ce mois le chat ne peut gérer impunément un autre stress) . 

  Et mettons en libre service, entre autres, les nosodes  FIP / FeLV / HIV (envoyés aisément par ainsworths ou helios pharmacy uk ).


ARTICLE MIS A JOUR LE 12 OCTOBRE 2019.



BIBLIOGRAPHIE :


(1)-Cooncept – PIF www.cooncept.fr/pif.php: traduit par Elisabeth. Relecture par Pascal Ramassamy, docteur vétérinaire et Odile.
Synopsis sur l'infection par le virus de la Péritonite Infectieuse Féline.
Par Niels C. Pedersen,

(2)-Guide pratique de Médecine Interne de F.Hébert et C.Bulliot (4è. édition méd'com)

(3)- Dictionnaire Pratique de Thérapeutique de R.Moraillon et col. (7è édition).


www.jelmiger.com/
(6)-Vetitude » PIF : des avancées dans le traitement de la ...
www.vetitude.fr/pif-peritonite-infectieuse-feline-avancees
(6 bis)-https://www.vetitude.fr/peritonite-infectieuse-feline-traitement-pif-chat/

    www.aromatherapieveterinaire.com
(8)- https://hpathy.com/veterinary-homeopathy/feline-infectious-peritonitis-fip-case-management-and-suggested-new-rubrics-developed-from-500-cases/

(9)-Dr Irène de Villiers: c’est sa colère..et je la partage ...

bioveto.wordpress.com/2015/08/31/dr-irene-de...En

(9)- la Péritonite Infectieuse Féline du Dr Camille Coisnon, La Dépêche Vétérinaire  Technique n°166 de mars 2019.
(10)-Pyrexia in cats : J.Feline Med.Surg. 2017 Riemer et al.




















2 commentaires:

Arnaud Veto a dit…

Voir avec le Dr Delphine Lugol :
Vétérinaire consultante en homéopathie uniciste
https://www.vetohomeo.com
f: DelphineLugol pro
veto.homeo@gmail.com
06 76 48 92 12

agnès a dit…

bonjour,
Mon chat est atteint de PIF et je souhaiterais lui donner du ravintsara,
quelle posologie donner ? comment ?
Cdlt