« LA DOULEUR, L’ANIMAL... L’HOMÉOPATHIE »
DrJacqueline Peker, vétérinaire homéopathe
LA DOULEUR, du latin dolor : oris : souffrance, à savoir une « sensation ou
une impression pénible » ou l’ensemble de ces sensations .
On peut préférer le mot MAL qui exprime la souffrance, le supplice, la torture...
la douleur dont les manifestations extérieures sont les cris, les convulsions,
la crispation, les gémissements, les grimaces, les plaintes, les spasmes, les
larmes...
LA DOULEUR EXISTE CHEZ L’ANIMAL à plumes ou à poils, à sang froid
ou à sang chaud, terrestre ou aquatique, pluricellulaire ou unicellulaire...
mais elle existe chez tous les êtres vivants : les plantes, les arbres, l’herbe, les
pierres...
« Objets inanimés avez-vous donc une âme ? »
N’oublions pas la « douleur morale », dont les symptômes sont parfois moins
évidents, mais qui sait déséquilibrer nos animaux. Notre rôle est de combattre la
douleur sous toutes ses formes.
La non-assistance à être vivant en souffrance mériterait bien de devenir un
concept juridique.
A CHAQUE DOULEUR SON TRAITEMENT
Un traitement dépend de notre formation médicale, mais aussi des croyances de
ceux qui souffrent.
Que nos malades choisissent la médecine allopathique, l’homéopathie,
l’acupuncture, l’ostéopathie, le magnétisme, la prière... ce qui compte, c’est le
soulagement rapide mais, s’il y a récidive (parce qu’une lésion physiologique
baisse rarement les bras !), ce sera alors notre rôle de rechercher l’étiologie du
mal et le pronostic immédiat ou retardé.
L’appréciation de la douleur physique chez l’animal exige de grandes qualités
d’observation et un toucher subtile qui devra mettre en évidence toute sensation
pénible en un point ou dans une région du corps (douleur interne ou externe).
L’œil du malade, la sensibilité de la peau, le battement des ailes du nez, les
mouvements de la langue ou des lèvres, l’instabilité sur les membres... sont
autant de signes qui avertissent le vétérinaire.
Mais n’imaginez pas que nous ignorons pour autant les manifestations de la
douleur morale, si fréquente chez les chiennes que l’on prive de leurs bébés,
chez les chevaux que l’on change de box, chez les cochons qu’on jette sans
ménagement dans les camions, chez les poules réveillées par une musique
techno (récemment 400 poules sont mortes... une « rave-party » avait été
organisée près du poulailler.
Certes, mes chers confrères, la douleur chez l’ animal existe et trop souvent
nous en sommes responsables... mais il est tellement facile d’être indifférent.
Dans toutes les souffrances, nous devons intervenir le plus vite possible,
en choisissant la thérapeutique la mieux adaptée et oublions notre écrivain-
chirurgien, Georges Duhamel qui prétendait que « la souffrance donne la mesure
de l’homme ».
DOULEUR ET ALLOPATHIE
Les antalgiques périphériques sont surtout actifs dans les douleurs tendino-
musculaires, osseuses, ou articulaires, mais beaucoup moins actifs dans les
douleurs viscérales.
Les antalgiques centraux ou stupéfiants ne sont pratiquement pas utilisés chez
les carnivores.
Les antalgiques non anti-inflammatoire (Doliprane) peu agressifs vis-à-vis de
la muqueuse gastro-intestinale sont souvent utilisés chez les vieux chiens.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) utilisent le synthèse des
prostaglandines et ont une action anti-inflammatoire, antalgique, antipyrétique
et antiagrégant plaquettaire, mais on redoute l’irritation gastro-intestinale
secondaire fréquente chez les carnivores. Pour le cheval ou les bovins, on
préfère la voie intra-musculaire, les infiltrations directes dans l’articulation
douloureuse, la mésothérapie.
DOULEUR ET HOMÉOPATHIE
Le remède ne sera efficace que si on tient compte :
- Du symptôme prédominant ou de la modalité de la douleur,
- Du facteur déclenchant,
- De l’appréciation d’un symptôme concomitant.
C’est la CLINIQUE (donc l’observation manuelle, visuelle, auditive, olfactive)
qui impose la prescription, que la douleur soit légère, moyenne, violente,
périphérique ou neurologique.
LES GRANDS MÉDICAMENTS HOMÉOPATHIQUES
1°) Des douleurs ostéo-articulaires ou musculaires
ACONIT : douleurs aiguës avec angoisse, fièvre (coup de froid), tachycardie
BELLADONNA : douleur + rougeur + chaleur avec spasmes et sécheresse des
muqueuses
BRYONIA : douleurs fixes > pression, fièvre avec soif < mouvement
ARNICA : traumatisme → douleur, épuisement et angor
HYPERICUM : douleurs intenses des terminaisons nerveuses
DILUTION : 5 – 7 – 9 – 15 CH
L’état du malade et du mal indique la meilleure dilution.
Attention aux sensibilités individuelles et à la répétition des prises.
2°) Des douleurs abdominales
COLOCYNTHIS : la douleur plie le malade en deux
CUPRUM : crampes, spasmes
ARSENICUM ALBUM : douleurs digestives avec nausées, vomissements,
diarrhée + épuisement et anxiété.
L’homéopathie vétérinaire répond parfaitement aux traitements d’urgence.
En 30 ans, j’ai utilisé tous ces remèdes grands ou petits, seuls ou associés à
des médicaments allopathiques ou au pouvoir de nos mains. Je n’ai jamais pu
accepter la souffrance... un animal qui souffre vous le crie..., mais il faut savoir
toucher, regarder, sentir.
Le meilleur exemple qu’on puisse vous présenter pour le traitement
homéopathique de la douleur est celui de la cystite lithiasique du chat mâle.
Les propriétaires, absents toute la journée, ne remarquent pas que la litière n’est
pas mouillée. Pourtant le chat manifeste ses souffrances : il regarde ses flancs,
se pose dans son bac, gratte avec force, gémit... mais rien ne vient, sauf parfois
quelques gouttes d’une urine épaisse, sanguinolente et nauséabonde. Le pénis,
rouge et enflé reste à l’extérieur. Le ventre est chaud, ballonné et les plus avertis
peuvent palper une vessie énorme. La cause de ces douleurs : quelques grains de
sable qui ne peuvent franchir un urètre minuscule et encombré d’un os pénien.
Le regard de ces chats qui souffrent vous invite à agir vite, quelle que soit
l’heure.
Les maîtres « homéopathisants » ont tous une trousse d’urgence et, dès les
premiers symptômes, ils ont donné : CALCAREA CARBONICA 15 CH : 10
granules, 15 minutes plus tard : CANTHARIS 9 CH : 3 granules, et 15 minutes
plus tard : BERBERIS 5 CH : 3 granules, et on continue jusqu’à l’amélioration,
jusqu’à l’expulsion du bouchon sableux, jusqu’à l’écoulement de l’urine.
Souvent le miracle n’a pas demandé plus d’une heure.
Mais, les récidives sont fréquentes, et le sondage ou l’intervention chirurgicale
sont indispensables.
Un traitement de confort sera prescrit, et le chat aura oublié ces biens mauvais
moments.
LE STRESS CHEZ LES ANIMAUX
STRESS du latin STRINGERE signifie ÉTREINDRE, serrer, lier, voire
même étouffer, oppresser.
Ces attitudes « physiques » entraînent angoisse, sentiment de détresse
qui « étreint » le cœur, l’âme.
DÉTRESSE : sentiment d’abandon, de solitude, d’impuissance que l’on
éprouve dans une situation poignante (élevage industriel, transport, abattage...)
Le mot « stress » existe en anglais dès le 17e
une tension... qu’on rapproche de la déformation des métaux (Strain).
Il faut attendre les années 50 pour que Hans SELYE devienne le père du
STRESS : état se traduisant par un syndrome spécifique à tous les changements
non spécifiques ainsi induits dans un système biologique.
Aujourd’hui, des découvertes en neuroendocrinologie et en immunologie
mettent ce concept à l’ordre du jour dans toutes les réunions médicales. On
- A l’augmentation du nombre des disciplines biologiques étudiant le stress,
- A la reconnaissance du concept de stress à tous les niveaux d’organisation
de l’écosystème au niveau moléculaire,
- A l’évolution des mécanismes physiologiques relatifs au stress sur plus de
400 millions d’années.
Le STRESS touche toutes les espèces animales – donc intéresse l’agriculture et
les animaux de compagnie.
siècle : pression, charge produisant
- A des comportements agressifs (ce qui rend difficile la manipulation des
animaux stressés),
- A des pertes de poids,
- A une sensibilité aux infections (ce qui explique que plus de 80 % des
animaux d’élevage reçoivent des antibiotiques dans leur ration).
Certaines sociétés recherchent des traitements novateurs pour soulager ces
troubles secondaires dus au stress :
La fièvre des transports qui affecte les bestiaux en transit fait perdre
un milliard de dollars par an aux éleveurs canadiens et américains.
Walter CANNON (1914)
Le système sympathico-médullo-surrénalien (notamment la
sécrétion de l’adrénaline et de la noradrenaline) est nécessaire pour
faire face à des perturbations physiques et physiologiques.
Hans SELYE (1932)
reconnaît le rôle important du système cortico-surrénalien
(notamment la sécrétion des glucocorticoïdes) dans la réponse du
MASON en 1971 intègre la dimension émotionnelle de l’état de
La définition de l’état de stress, la plus souvent citée chez l’animal est
le « résultat de la sollicitation exagérée des capacités d’ajustement
comportemental et physiologique de l’animal ».
Cette définition ne fait toujours pas référence à l’état mental ou physiologique
de l’animal, de manière explicite.
Plus un animal se sent menacé par rapport au bon fonctionnement de son
corps (impossibilité de se coucher et de se tourner, problèmes de soif, de faim,
de douleur...) et de son équilibre mental (contexte social inadapté, problèmes
de peur, de frustration de sur ou sous-stimulation par l’environnement...), plus
Certes, nous ne pouvons qu’estimer l’état psychologique de l’animal à l’aide de
mesures physiologiques et comportementales, car nous manquons d’indicateurs
En fonction de l’origine du stress, différentes mesures peuvent être choisies. Les
mesures comportementales concernent généralement les réponses d’adaptation
à la situation (fuite, agression, immobilisation, exploration...).
Concernant la physiologie, les taux sanguins de cortisol, principal
glucocorticoïde chez de nombreuses espèces, sont souvent utilisés, car ils
augmentent, suite à l’application de facteurs de stress tous différents.
L’activité du système nerveux autonome
est une autre mesure couramment utilisée : activité cardiaque, dosage de
l’adrénaline et de la noradrénaline dans le sang, cortisolémie... mais sur
le terrain, ces mesures sont difficiles, d’autant plus qu’on les retrouve lors
d’activité physique ou de vigilance accrues.
Il faut savoir que l’état de stress d’un animal dépend, non pas de la
situation, mais de son évaluation de la situation.
Chaque individu est forgé de manière unique par son patrimoine génétique et
son expérience antérieure.
Donc, l’état de stress d’un animal est une expérience individuelle et
subjective. Ce que nous devons apprécier, c’est sa réactivité au stress.
POURQUOI est-il si important de mieux comprendre le comportement des
animaux d’élevage ?
POURQUOI est-il si important de lutter contre les troubles qu’entraîne le
- Parce qu’il faut optimiser les performances techniques,
- Parce que le consommateur doit pouvoir acheter les meilleurs produits.
« UNE VACHE QUI N’EST PAS STRESSÉE DONNE UN MEILLEUR
LAIT... ET CE MEILLEUR LAIT DONNE LE MEILLEUR
Vu et entendu à la TV.
La réussite de l’élevage tient à un équilibre entre plusieurs paramètres auxquels
l’animal doit s’adapter : la vie en communauté, les bâtiments, l’alimentation, le
microbisme, l’éleveur. Or, plusieurs éléments peuvent perturber cet équilibre :
sevrage, surpeuplement, bagarres, manipulations, bruits, soins, changement des
systèmes d’abreuvement ou d’alimentation, température ambiante.
Le « bon éleveur » doit détecter l’état de stress dans tout changement de
comportement car, en l’absence d’intervention, le stress devient « chronique »,
et l’animal ne parvient plus à s’adapter seul. Les performances zoologiques se
dégradent et la maladie survient.
Bien sûr, la première approche est le respect des normes zootechniques
classiques. Mais, qui peut dire que cette truie-là a besoin d’une semaine pour
s’adapter à la maternité, et telle autre a besoin de deux semaines ? Là intervient
l’individualisation de l’animal. Plus on cumule les facteurs nouveaux, et
plus le stress risque d’être important, et sa maîtrise passe par une meilleure
connaissance du comportement dans toutes les situations possibles.
Quand un éleveur entre dans un poulailler, il sait qu’il doit prévenir les poules,
siffler, parler, claquer dans ses mains.... Elles doivent le reconnaître, car toute
présence étrangère peut provoquer un stress qui agira sur la poule, la qualité des
coquilles ou de la chair... (les poulets canadiens destinés à la consommation ne
passent plus leur temps dans des cages, ils conservent leur bec, boivent de l’eau
fraîche, écoutent de la musique... et sont les meilleurs du monde !)
Nos médias ont beaucoup parlé du transport des animaux : camions vétustes
et surchargés, longs trajets sans eau, quelles que soient les conditions
atmosphériques. Pour la plupart d’entre eux, ce transport constitue une
expérience nouvelle. D’importants changements relatifs aux paramètres
endocriniens, enzymatiques et métaboliques, ainsi qu’aux électrolytes, à la
thermorégulation et à l’hydratation peuvent donc survenir. Chez un animal, ces
changements physiologiques peuvent avoir un effet négatif sur le poids vif et sur
la qualité même de la viande.
Il est indispensable de surveiller la densité du chargement, le mélange des
animaux,, la température ambiante, l’humidité... (cf CHARTE ou MANIFESTE
POUR LES ANIMAUX DE FERME).
Certains traitements nutritionnels ont été appliqués de manière préventive
ou comme reconstituant, pour modifier la réponse de l’animal au stress du
ET POURQUOI PAS L’HOMEOPATHIE ?
Chez les chevaux de course, GELSEMIUM 15 CH est utilisé presque
systématiquement pour tous les déplacements. Si l’animal salive, on lui associe
PETROLEUM 5 CH.
Un laboratoire irlandais TRIDELTA développe actuellement un réactif pour
mesurer le stress des animaux dans le sang. Il faut doser l’amyloïde A sérique,
la protéine C réactive P et l’hapto-globine... dont les taux s’élèvent très
rapidement en cas de stress... Ne serait-il pas mieux d’apprendre à respecter les
animaux ? A suivre !
De toute façon, il est facile de reconnaître un animal stressé et plus encore pour
un homéopathe qui se doit d’ajuster médicament et symptomatologie.
Combien en ai-je vu en 40 ans... des vaches, des cochons, des chevaux, des
chiens... Il suffit de regarder le poil, les babines, les ailes du nez, les yeux...
Comment oublier l’odeur d’un animal stressé ?
Voici un article très sérieux publié par une revue vétérinaire norvégienne... et
Le regard bovin renseigne sur le stress
Comment savoir si une vache se sent bien ? C’est très simple. Il suffit de la
regarder droit dans les yeux.
Une équipe de chercheurs norvégiens vient de publier une étude affirmant
que plus une vache est stressée et plus le blanc de ses yeux devient visible.
Eleveurs et inspecteurs vétérinaires pourraient utiliser cette caractéristique
physiologique comme mesure du bien-être et/ou du stress du bétail.
Agnete Sandem et ses collègues de l’Université d’Agriculture d’As ont donné
à un groupe de 12 vaches rouges norvégiennes une boite d’herbe fraîche et
proposé à 12 autres une boite similaire comportant un couvercle perforé,
dispositif les empêchant de s’alimenter avec l’herbe, qu’elles pouvaient toutefois
voir et sentir. Les réactions des animaux ont ensuite été enregistrées sur
vidéo. La surface moyenne du blanc de l’œil des animaux du groupe frustré
– y compris les animaux ne montrant pas d’autres signes de stress – devient
deux fois plus importante que celle du groupe de référence. Les chercheurs
supposent que les vaches pourraient ouvrir plus grands leurs yeux afin de capter
des informations visuelles supplémentaires qui puissent être susceptibles de les
aider à régler cette situation problématique.
Le fait d’avoir trouvé un indicateur simple du stress enduré est important.
Certains producteurs laitiers font du bien-être de leur bétail une priorité, des
bovins peu soumis au stress s’avérant plus productifs. De plus amples études
sont désormais nécessaires avant que de telles découvertes puissent être
exploitées par la filière laitière. Pour l’heure, seules des mesures concernant
le taux de globules blancs, le taux de cortisol, le rythme cardiaque et la
déshydratation sont utilisées pour contrôler le stress. Mais ces tests sont délicats
et lents à mettre en œuvre et une technique de mesure plus simple pourrait
rendre le contrôle plus accessible.
Tous les animaux sont stressés : dans les étables, dans nos appartements, dans
les zoos et dans les forêts, dans les volières et dans les aquariums.
LES POISSONS communiquent, perçoivent, souffrent... quand on les touche,
quand on les poursuit, quand on leur impose trop de bruit ou de lumière... ils
se plaignent, produisent des bruits... peut-être des « mots de douleur »... Leur
système nerveux présente les mêmes récepteurs à la douleur que les nôtres,
aussi ressentent-ils la peur, le stress, tandis que leur fréquence cardiaque et leur
rythme respiratoire augmentent, et qu’une décharge d’adrénaline est libérée.
Que penser alors de la pêche au filet qui les écrase, les déchire, les broie...
En fait, tous les êtres vivants connaissent le stress... donc les plantes, les arbres
ne sont pas épargnés... Des chercheurs de l’INRA étudient comment les plantes
réagissent aux stress imposés par la pollution et les carences minérales, par la
mise en évidence des ensembles de gênes dont l’expression varie en réponse à ces modifications.
Quand Jacqueline BARBENCEY redoutait que ses plantes soient stressées par
ses absences, elle leur donnait quelques granules d’Ambra grisea 15 CH...
Je suis sortie de l’École Nationale Vétérinaire de Maisons-Alfort... en 40 ans
dont plus de 30 en clientèle, je pense avoir traité tous les types d’animaux :
mammifères, oiseaux, reptiles, poissons... animaux à plumes, à poils, à écailles,
animaux à sang chaud ou à sang froid... animaux d’élevage, animaux sauvages,
animaux de compagnie... Combien étaient stressés... un peu... beaucoup...
intensément... Combien ont absorbé des granules homéopathiques ? Combien
ont été soulagés... parfois même guéris ?
Le stress c’est peut-être une maladie comme toutes les autres... donc, il faut
interroger, toucher, sentir, regarder... et surtout COMPRENDRE.
Dr JACQUELINE PEKER
vendredi 30 janvier 2015
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2 commentaires:
Pour poser une question,allez au démarrage du blog (commentaires).
Aucune réponse ne sera donnée ici.
Merci
Bonjour docteur,
Des nouvelles de Korky : pendant notre semaine en Espagne, Gorky s'est retrouvé avec l'oeil droit quasi fermé et la paupière rouge et bien enflé.
Est-ce une piqûre, une herbe ... comme c'est son oeil le plus faible (suite à la radiothérapie), il réagit très vite.
Bref, le véto espagnol l'a mis sous Terra Cortril pendant une semaine, à l'heure actuelle tout semble être rentré dans l'ordre.
Par contre son appétit ne suit pas, il chipote beaucoup, il trie, pas facile du tout car il ne doit pas perdre de poids,il n'en a pas de trop hélas :) Je lui mets du Tonivit et des choses qu'il aime mais c'es très galère.
Que pourriez-vous conseiller pour stimuler l'appétit et lui redonner un peu de force car il semble affaibli.
Il est toujours sous le protocole de votre ami le Dr Baudin avec Visco, Gingko et Tri -Factor.
Le mois prochain, il fera son scanner de contrôle comme tous les 4 mois, je vous tiendrai au courant des résultats bien sur.
Bonne soirée docteur
Carine, Korky xxx
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